Ceci est la liste définitive des cent meilleurs morceaux de Hard-Rock jamais enregistrés (un par groupe ou artiste solo). Toute discussion future est nulle et non avenue. Merci de vous en souvenir. Je m'y connais plus que vous.
Aujourd'hui, des affreux, des vieux cons et des filles qui ne se lavent pas.
#80 « It's Not Love » Dokken, 1985
La recette infaillible du succès? Gimmick d'intro, ryhtmique en béton, chanteur qui monte sans problème dans les aigus, tête de mort en relief sur la gratte, riff chromé, plein de cheveux, refrain facile à scander tout en brandissant le poing, solo pompé chez Van Halen, Los Angeles: un sans-faute.
Clip: B+ J'espère que Don Dokken a partagé la groupie avec ses copains.
#79 « Questioning My Sanity » L7, 1994
Les punkettes de L7 étaient moches comme des poux (quoiqu'un shampooing et des fringues décentes auraient pu sauver la chanteuse), ce qui est de toute évidence un avantage dès lors que l'on espère faire carrière dans cette illusion du « rock au féminin ». Car personne n'a envie de voir une jolie fille se comporter en dégénérée. Tandis que tout est permis à un laideron.
Clip: Inexistant. Mais cette vidéo justifie à elle seule la tenue du festival de Cannes.
#78 « Smooth Up In Ya » Bulletboys, 1988
Le débat est clos. Meilleur que Roth, Axl ou Sebastian Bach, Marq (avec un Q) Torien était le plus grand hurleur du genre. Quand je pense qu'avec un peu de coffre j'aurais moi-même pu aborder les filles avec un « I've said it before and I'll say it again/You're not my type if you don't give in ». Que de regrets.
Clip: D Qui a dessiné ces horreurs?
#77 « Back In The Saddle » Aerosmith, 1976
Steven Tyler, la bouche sur pattes dont la semence a engendré Liv Tyler, a déclaré qu'un jour de 1976 il avait vendu ses trois Porsche pour pouvoir se mettre « la moitié du Pérou dans le nez ». Aujourd'hui ce serait pour s'acheter des foulards.
Clip: Inexistant. Aerosmith s'est rattrapé plus tard en faisant dans le putassier. Jetez un oeil à « Love In An Elevator ».
#76 « Somewhere I Belong » Linkin Park, 2003
C'est au succès de l'abominable « rap-metal » et des infects Limp Bizkit que nous devons l'apparition de Linkin Park au début des années 2000. Groupe préfabriqué (un « DJ », un « rappeur », des petits boucs et des rythmes digitaux) et poussé par la maison de disques au fond de la gorge des ados qui n'y comprennent rien, Linkin Park applique méthodiquement la même formule à chaque morceau et surpasse allégrément les gorets (Fred Durst et cie) qu'ils sont censés copier. Yo.
Clip: C Des millions de dollars ont été dépensés.
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