mercredi 12 janvier 2011

Hard-Rock Top 100: N° 55 à 51

Ceci est la liste définitive des cent meilleurs morceaux de Hard-Rock jamais enregistrés (un par groupe ou artiste solo). Toute discussion future est nulle et non avenue. Merci de vous en souvenir. Je m'y connais plus que vous.
Aujourd'hui, journée des poils sur la figure.


#55 « Cat Scratch Fever » Ted Nugent, 1977

Vous n'allez pas le croire, mais malgré la mention de kitty et autre pussy, « La maladie des griffes du chat » n'a pas pour thème principal les symptômes et moyens de prévention de la lymphoréticulose bénigne d'inoculation. C'est une honte, car non détectée à temps, cette affection peut provoquer des complications graves!

Clip: Inexistant. Ted a depuis rasé sa moustache.


#54 « The Lost Art Of Keeping A Secret » Queens Of The Stone Age, 2000

A chaque fois que je suis sur le point de me convaincre que les QOTSA sont vraiment très bons, je me souviens que Kyuss était bien meilleur. Et ça me rend amer. Cela dit, pourquoi en vouloir à Josh Homme? John Garcia aurait-il été capable de fredonner ce délicieux « Whatever you do »?

Clip: C Bande originale d'un film à petit budget? Expliquez-moi.


#53 « Judith » A Perfect Circle, 2000

Un inconnu peut-il fonder un supergroupe? Oui, s'il arrive à recruter Maynard Keenan de Tool. Qui n'aime pas Dieu parce que sa mère paralysée croyait en lui. Les rockeurs ont parfois une âme tourmentée.

Clip: A Le monde a besoin de plus de bassistes en mini-jupe. Qui s'attachent les cheveux devant une caméra.



#52 « Born To Be Wild » Steppenwolf, 1968

Si tout le monde est au courant pour le chant de ralliement des bikers qui ont une vraie moto ainsi que pour l'apparition du terme « heavy metal », le plus stupéfiant dans cet hymne rock n'roll est qu'il est chanté par un natif de la défunte Prusse-Orientale. Il y a une bonne chance que ce soit le seul.

Clip: Inexistant. A part ça, faire de la moto sans casque dans les grands espaces, ça a l'air sympa comme tout, mais vous êtes au courant de ce qui arrive à la fin d' « Easy Rider », non?



#51 « Powertrip » Monster Magnet, 1998

Après avoir attiré l'attention des drogués quelques années auparavant avec un titre d'album (« Dopes To Infinity ») plus que prometteur, Monster Magnet laisse de côté l'influence sabbathienne pour tenter de produire des hits, dont cet hymne à la Française des Jeux. I NEVER GONNA WORK ANOTHER DAY IN MY LIFE! Il faudrait vraiment que je joue à l'Euro Millions.

Clip: B Quand j'aurai gagné le pactole, ma vie ressemblera exactement à ça.

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